Orelsan annonce la diffusion du documentaire sur sa vie et sa carrière « Montre jamais ça à personne » pour bientôt

Le vendredi 19 novembre 2021 sonnait la naissance du quatrième album solo du rappeur OrelSan « Civilisation ». Cette sortie était l’occasion idéale pour le rappeur français de replonger dans le documentaire « Montre jamais ça à personne » réalisé par son frère. Il y a quelques heures, le rappeur originaire de Caen annonce que ce documentaire sur sa vie et sa carrière sera bientôt diffusé à l’étranger.

Une diffusion du documentaire annoncé suite aux statistiques époustouflants de l’opus « Civilisation »

Depuis de nombreuses semaines déjà, l’originaire de Caen Orelsan est au cœur de l’actualité. En effet, plus de 4 ans après son dernier album « La fête est finie », le Caenais a décidé de signer un retour tonitruant avec un nouveau projet intitulé « Civilisation ». Cette nouvelle avait bien évidemment provoqué la joie de ses millions de fans. Pour la promotion de cet opus, les fans du Caenais ont eu l’occasion de savourer la série documentaire de 6 épisodes intitulés « Montre jamais ça à personne ».

À noter que ce documentaire raconte la vie et le parcours du rappeur caenais. Une très belle série réalisée par le frère du rappeur (Clément Cotentin) et diffusée déjà sur Amazon Prime Video. Au lieu de calmer les différentes ardeurs des admirateurs du rappeur Normand, ce documentaire n’a fait qu’accroitre l’engouement autour du rappeur. D’ailleurs, le rappeur vient d’annoncer que le documentaire sur sa vie et sa carrière « Montre jamais ça à personne » sera bientôt diffusé à l’étranger.

« Montre jamais ça à personne » : un documentaire réalisé par Clément Cotentin

À l’occasion de la sortie du documentaire « Montre Jamais Ça À Personne » qui retrace la genèse d’Orelsan, plusieurs médias ont eu l’occasion d’échanger avec Clément Cotentin le frère du rappeur. Lors de la projection en avant-première du documentaire, plusieurs médias ont demandé si le frère du rappeur était le premier fan d’Orelsan. « Complètement. Je suis le président du fan-club (rire), je le dis d’autant plus facilement que ça n’empêche pas une certaine objectivité et un certain regard sur ce que fait mon frère. Mais ouais, j’y ai toujours cru à fond. Il y a vingt ans, je ne voyais aucun défaut dans ce qu’il faisait. J’étais persuadé que ça allait cartonner. J’ai commencé à filmer aussi parce que j’avais envie de trainer avec mon frère, Gringe, Ablaye et Skread. Cette petite caméra, c’était ma porte d’entrée pour vivre des trucs de ouf. J’ai toujours était fasciné par plein de choses, et j’ai à chaque fois envie de dire “Regarde, c’est ouf.” Faire des images ça permet ça aussi »

En ce qui concerne la question selon laquelle, le fait qu’il filme Orelsan dès le début ait pu contribuer à son acharnement à percer dans le rap, Clément répond : « Orel à son propre moteur. Il ne lâche jamais l’affaire, sur rien. Artistiquement, il ne lâche rien. Du coup, paradoxalement, il n’a même pas conscience que son rêve, c’est de faire du rap. Ce n’est pas l’histoire d’un mec qui a un rêve, c’est l’histoire d’un mec qui ne s’autorise pas à rêver. Pourtant, on vient d’un milieu privilégié, en tout cas classe moyenne, mais même dans ce milieu où on n’avait aucun souci, on ne s’autorisait pas à rêver. C’est une fois qu’il y croit, car son pote lui dit qu’il n’est pas plus bête que les autres, qu’il se dit que c’est possible et qu’il va au bout du truc. Ma caméra n’a pas changé les choses. Par contre, c’est cool d’avoir documenté ça, pour justement peut-être donner envie à d’autres personnes de tout âge, de tout sexe et de toute origine de se dire ouais, d’accord, je vois comment il a fait, je vais chopper 1, 2, 10 trucs à appliquer pour réussir dans ce que je veux faire.